Entrevue réalisée par Alexandre Mailhot
Bonjour et merci de participer à cet entretien. Est-ce que tu peux me parler de ton parcours chez GLOBOCAM depuis ton arrivée ?
Je suis arrivée en 1994 sur Côte-de-Liesse (ancienne adresse du concessionnaire maintenant localisé à Pointe-Claire). J’ai commencé là-bas en raison de ma connaissance des moteurs; je fais encore des moteurs aujourd’hui, j’ai toujours fait des moteurs !
Avant d’arriver chez GLOBOCAM, j’avais 10 ans de bagage et, depuis que je suis ici, on m’a encore beaucoup formé. Faut dire que ça a évolué dans le domaine depuis mon arrivée ! C’était plus simple avant; il y a maintenant beaucoup plus d’électronique et plus de « stock » autour d’un moteur.
Est-ce que tu te souviens de ta première journée de travail ? Qu’est-ce qui t’a marqué le plus ?
À ma première journée de travail, le gérant de service qui était là, je le connaissais. [L’équipe était composée de] gars qui ont travaillé avec moi dans un ancien Freigthliner, donc je me sentais en confiance. Cependant, tout était nouveau; le garage roulait depuis à peine 3 mois, ainsi, côté équipement, c’était moins complet qu’aujourd’hui ! C’était de belles années.
Selon toi, qu’est-ce qui fait le succès de GLOBOCAM ?
Toute la gang, au complet ! Tous les employés ont fait leur part pour le succès de GLOBOCAM et chacun peut en être fier.
Qu’est-ce qui te rend toujours heureux dans ton travail ?
J’aime mon métier, j’aime la mécanique. Mon père avait un garage automobile; j’ai vécu dans un garage toute ma vie. J’ai commencé dans l’automobile et, au fil des années, j’ai lâché le père pour aller dans le camion. J’étais tout petit et je « picossais » dans le garage. J’ai toujours aimé ça et j’aime encore ça. Moi, je ne viens pas travailler de reculons ici.
Quand tu regardes les 20 dernières années, qu’est-ce qui te rend fier dans ton travail ?
Ce qui me rend le plus fier, avec tous les changements des dernières années, c’est de voir que j’arrive encore à accomplir ce qu’on demande. Je suis resté avec une compagnie dans laquelle je suis heureux et qui, en plus, est une sacrée bonne compagnie !
As-tu une anecdote à nous conter ?
Je me souviens, dans l’ancien garage, j’ai fait une erreur que je ne referai plus JAMAIS ! Je travaillais sur un moteur, un petit Cummins noir, juste avant de partir pour mes vacances. J’ai démarré le camion à midi moins quart… j’avais oublié de mettre l’huile dans le moteur. On a dû le changer ! Ça a été une de mes pires erreurs et je ne l’ai pas oublié.
As-tu un rêve dans ton travail que tu aimerais voir se produire dans les prochaines années ?
Rien ne me vient en tête; je suis heureux ! Pour mes dernières années, je n’ai pas besoin de changement spécial.
Quels conseils donnerais-tu à un nouvel employé de GLOBOCAM ?
Ici, c’est une bonne compagnie. Donne du bon rendement et tu vas être heureux au travail. Tu peux faire une carrière chez GLOBOCAM; je suis ici depuis le début et je n’ai jamais pensé aller ailleurs. Tu es bien payé et apprécié aussi.