Entrevue réalisée par Alexandre Mailhot
Bonjour et merci de participer à cet entretien. Est-ce que tu peux me parler de ton parcours chez GLOBOCAM depuis ton arrivée ?
Quand j’ai commencé, en 1996, j’étais à contrat; je devais appeler les clients pour savoir s’ils étaient heureux, s’ils étaient bien servis aux pièces et au service et aussi qui était leur vendeur. Avec ces informations-là, je devais ensuite faire des maps de toute la ville de Montréal et ses alentours, mais moi, je me perds dans Rosemont !
Quand le poste s’est libéré, on m’a engagée comme réceptionniste. Je faisais aussi les payables, les recevables, la gestion des fournitures, etc.
Toutes les personnes qui travaillent ici, je les ai connues jeunes ! Gilles (actuel Directeur général) était directeur des pièces quand j’ai commencé. Christian Bazinet (actuel représentant aux ventes de camions neufs) a commencé avec nous à 17 ans et maintenant il a une famille. J’ai croisé Maxime (actuel Vice-président finances et administration) alors qu’il était tout jeune aussi.
Ce sont de très belles années que j’ai eues, remplies de beaux soupers d’équipe, d’expériences de gang, de beaux party Noël et le party du 25e, c’était grandiose !
Qu’est-ce qui te rend toujours heureuse dans ton travail ?
Plusieurs me demandent pourquoi je ne prends pas ma retraite; moi, le matin, je me lève et je suis contente de venir travailler. Pourquoi ? à cause de l’équipe; on a une belle équipe ici, en plus des jeunes qui arrivent avec leur vent de fraicheur. C’est humain chez GLOBOCAM et, ça, c’est important. Je me sens bien ici, on n’est pas des numéros. Et si ça reste comme ça, vous allez m’avoir jusqu’à temps que je me promène en marchette !
Avec plus de 20 ans de service, as-tu une anecdote drôle à nous conter ?
Lors de mon premier 5 à 7, j’avais une nouvelle voiture manuelle. Pendant qu’on était tous à l’intérieur, un vendeur dit qu’une voiture noire bouge toute seule dans le stationnement. C’était la mienne; j’avais mal mis le frein à main ! Je suis partie en courant pour l’arrêter. Disons que, comme premier 5 à 7, je n’ai pas fait la meilleure impression !
As-tu un rêve dans ton travail que tu aimerais voir se produire dans les prochaines années ?
Le nouvel emplacement ! Je ne croyais jamais travailler dans une nouvelle bâtisse. J’ai hâte d’y aller, mais ils doivent faire ça vite avant que je « pète au frette » ! La gang veut m’acheter un bicycle pour que je puisse me promener et porter les messages dans le nouveau concessionnaire tellement ça sera grand. Ensuite, ça va faire 25 ans de service cette année !
Si tu pouvais faire une autre carrière chez GLOBOCAM, laquelle ce serait ?
Les relations publiques. Dans le temps, il n’y avait pas ce type de poste, mais j’aime parler avec le monde et je crois que j’aurais été bonne !
Quels conseils donnerais-tu à un nouvel employé de GLOBOCAM ?
D’y mettre tout son cœur : ça va être réciproque ! L’aspect humain est important chez GLOBOCAM et c’est ce qui fait l’âme de la compagnie. Fais ton travail, fais de ton mieux et GLOBOCAM sera là pour te soutenir. Il y a de la place pour avancer, tu peux commencer au bas de l’échelle pour après aller de plus en plus vers le haut. Apprends le plus de choses possible, ce sera pratique plus tard.
Mon petit-fils, Alexandre, j’espère qu’il pourra venir travailler ici un jour !
J’aimerais ajouter, si tu permets, que je remercie tous ceux que j’ai côtoyées dans ces 25 belles années ! Je me trouve privilégiée.